Cloque
Talon gauche
Talon droit
Ces photos sont plus impressionnantes que douloureuses. Mais par contre elles expliquent bien pourquoi j'ai rapidement pris la décision de ne pas claquer des talons en avançant dans le désert.
J'ai eu du bol. Les cloques n'ont débarquées qu'au bout de la 3ème étape. Juste à temps pour l'étape longue. Celle de gauche a rapidement perdu sa peau. Mais Nancy (championne internationale du soignage de cloques) m'a mis une gaze grasse avec de l'élasto. Topissime. Une fois que le pied est dans la chaussure, que le laçage serre bien le pied (On est jamais trop prudent. Des fois, le pied ne veut pas rester dans la chaussure.) et que l'effort est lancé, on ne sent plus les cloques.
Je suis content d'avoir eu des cloques. Un marathon des sables sans cloques c'est pas un marathon des sables.
Par contre un marathon des sables en cloque, ça doit pas être terrible. Surtout sur la fin.