Pas de bras, pas de chocolat.

Parfois je me demande si chéri-et-adoré et ma-chère-et-tendre ne se voient pas en secret pour s'échanger de bons tuyaux pour me faire mariner.

Quand l'un s'évertue à m'atomiser à l'entraînement, l'autre s'emploie à m'employer âprement à la maison.

En y mettant de l'enjeu....

Et c'est comme ça, qu'au détour d'une bête conversation, ma chère et tendre comprenant mon souhait de participer au marathon des sables sut en retour m'imposer ses priorités : "Pas de salon , pas de marathon des sables !".

Et donc, depuis Août, me voilà à décoller du papier peint, casser du mur, pour le refaire (la logique féminine est un puit sans fond d'illogisme), repeindre du plafond, du mur et du tuyau de radiateur. Et bien qu'éreinté, épuisé, harassé, j'attaque cette semaine de congés, qui aurait put être dédiée à du terne glandouillage en règle, un plein sourire aux lèvres. Car telle une magnifique lueur, brille dans cette sombre traversée en terre bricolande, l'espoir d'en avoir bientôt fini. Demain, c'est parquet. Et après demain, c'est électricité. Et si tout se déroule comme prévu, ce week-end, le canapé va retrouver sa place et ses hôtes.

Bref, le salon fait, c'est la promesse du Marathon des sables qu'il faudra ensuite tenir.

Youpi !

Le canapé cercueil....

Comments

[patrick]

Un peu d'humour, moins de tétanisation sur un clin d'œil bienveillant et un peu de distanciation éviteront une polémique rétrograde, disproportionnée et une bêtise de commentaire affligeante...

Patrick

[megote]

tu sais ce qu'il te dit l'illogisme féminin?

qu'un bon mot (enfin la tentative d'un bon mot ) ne cache pas une misogynie rampante..