Après cuisson, laissez refroidir...

30 juillet 2013

Après cuisson, laissez refroidir...

C'est vraiment marrant la météo qu'on a en ce moment. Hier, il faisait 20°C, avant hier 30°, aujourd'hui 17°C et demain...

Et demain ? On s'en fout. Il fait le temps qu'il fait et puis c'est tout. Sans dèc !

Donc, hier, par un temps mélancolique de début d'automne (On t'a dit qu'on s'en foutait ! Tu comprends rien ou quoi ?), galopade sauvage avec le sac lourd comme le temps (Allô ? Police ? Vous pourriez venir ? Il y a un taré sur ce blog...), et rempli de bouteilles d'1,25l d'eau de pluie (Allô ? L'HP ? Ce serait pour réserver une chambre...). 7kg. C'est lourd, non ?

Et bah non !!! MÊME PAS LOURD ! MÊME PAS MAL !!!

Mais ça y est ! J'ai compris pourquoi. Non. Désolé. Oubliez. Je ne suis pas celui que vous croyez. Non. Je me dope. A l'insu de mon plein gré, avec une crème contenant des corticoïdes. Parce que je fais une allergie à des foutues plantes que j'ai arraché dans le fond du jardin et qui ont eu la bonne idée de me décorer les guiboles avec des grosses plaques et des gros boutons. C'est dégueu. C'est pas bô. Et ça gratte. Bon, bref, je me dope.

Et bah le sac, il est super léger et je vole au vent avec. A quasiment 5'10" / km et en discutant... Trop faç !

Par contre le sac avant ballote toujours autant. Je suis obligé de courir en tenant la bouteille transversale ventrale. Ça fait un peu "pilier de bar" quand je cours. Genre "le gars qui coure pas vraiment" et "qui se repose sur sa poche avant en buvant sa bière...". Un mec cool, quoi...!

La bonne nouvelle pour le marathon des sables, c'est que même le bras cassé, je serai entraîné pour le faire quand même.