15 pompes plus tard
Titre abusif. J’aimerai bien arriver à faire 15 pompes. Sans transformer la séance de PPG en quart de finale de Wimbledon, opposant Maria Sharapova à Venus Williams.
Voilà. C’est dit. Et ça va forcément faire rigoler les copains de Sameforme. Qui attendent, avec délectation, inlassablement, séance après séance, les hurlements accompagnant invariablement le grand moment des pompes. Hurlements qu'on avait entendu jusqu’alors que dans les fermes les plus reculées de nos campagnes, au moment du cochon sacrifié rituellement pour son boudin noir. Une pompe, un cri. Un cri, au mieux une pompe, sinon un râle d’épuisement de fin du monde. Me laissant ridicule. Le nez dans la poussière.
Et pourtant, dieu sait que j’apprécie ces séances. Qui devraient être obligatoires, comme le pinard, pour tous les coureurs à pied de France et de Navarre. Ces séances de préparation physique générale aident à gagner en gainage sur le haut du corps, en cuisse, en bras, en agilité et souplesse. Si vous voulez en savoir plus, c’est ici.
On y fait plein d’exercices. On rigole bien. Enfin, surtout eux…